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Eh oui moi aussi j'écris, y en a pas que pour Mistumay xD

Alors mon histoire ? Bah vous avez le résumé en bas, mais je tiens a dire que il y aura surment beaucoup de fautes et ce n'est pas la version fini du chaptre que je mets. C'est comme si je fais brouillon, rectifie, publie, améliore xD. Car si cette histoire est publié, bah vous aurez une raison de l'acheter ^^. Bon j'arrete d'écrire et je vous dit Bonne lecture.

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6 juin 2006, un accident de bus a lieu aux Etats-Unis, aucun survivant n’a été recensé. Matthew Carter, génie des nombres, a perdu sa femme et son fils lors de ce drame. 6 années plus tard, il essaye de trouver la raison de cet accident, inconnu à ce jour, avec l’aide des mathématiques. Mais un problème se pose, car à chaque fois qu’il pense avoir une piste, il obtient comme résultats dans ses calculs un nombre peu commun, 666, dit le nombre du diable …








« La solitude, l’abandon, le recueillement, la séparation, l’isolement … voici quelques mots qui décrivent mon état de vie depuis six ans maintenant ... depuis que je vous ai perdu, les amours de ma vie. Melissa, John, pourquoi m’avez-vous laissez seul dans ce monde de tristesse et de malheur ? Pourquoi ? Vous n’y pouvez rien je sais, ce n’est pas votre faute non plus, d’ailleurs personnes ne sait comment cet accident s’est produit à vrai dire. La police scientifique n’a rien trouvé de probant, aucune raison valable, même pas une seule supposition … Des personnes pensent que c’était le chauffeur qui, à coup sur, avait trop bu, d’autres supputent que le bus en question avait quelques problèmes mécanique mais pour moi, aucune de ces deux raisons ne sont valables ...

Six ans sont passées depuis mais mes sentiments envers vous sont restés intactes. L’amour, l’amour par rapport à un être cher, par rapport a toi Melissa, et ce sentiment de protection, de paternité pour toi John. Ces sentiments sont restés intacte depuis que vous m’avez quitté. Mais toutes ses sensations, ses impressions ont, peu à peu, fusionnés avec ceux du manque, de la déception, de la tristesse. La perte d’êtres chers, voilà la raison. Les parents ne devraient jamais perdre leurs enfants, ils ne devraient jamais les voir mourir, disparaître ... et encore moins si un des deux parents part avec lui. Vous ne pouvez pas savoir a quelle point vous me manquez mes amours.

Derrière le sourire se cache la déception, l'envie de mourir... c’est en ce moment ce que je vis. A chaque fois que je vois un couple heureux, quand des personnes s’embrasent, s’amusent, j’ai comme un pincement au cœur. Ce n’est pas leur faute, ils profitent de la vie en tout cas ... pas comme moi. Depuis que vous êtes décédés, je n’ai plus la force d’aimer, de m’amuser, et cette force diminue encore de jours en jours. Si vous n’étiez pas mort comme ça, subitement, j’aurais eu encore la force de vivre, de prendre plaisir à vivre, mais le destin en a voulu autrement ...

Chaque jour je me de demande si vous étiez toujours en vie, ce que l’on serait devenu. Tous les soirs, je me couche, je ferme les yeux et j’imagine notre vie ensemble ... cette vie qui n’arrivera jamais. C’est vrai que je vais vous voir peu souvent mais c’est que je manque terriblement de temps, car je viens d’apprendre il y a deux mois que la Police vient de fermé l’affaire, car ils ne trouvaient toujours rien. Alors je me suis mis a cherché la cause de l’accident grâce aux nombres. Etant assez doué en mathématiques, je crois que je pourrais trouver des choses qui ré ouvriront peut être l’affaire, mais je doute quand même. Faut dire que je mais je ne peux pas rester dans l’idée que votre mort n’est aucune explication, et je ferais tout pour la trouver, peu importe où cela me mènera. »

J’arrêtai de parler un instant pour déposer sur les tombes de mes deux amours des fleurs de chrysanthèmes. Tous les ans, à l’anniversaire de leur mort, j’en pose quelques unes. D’ailleurs pourquoi appelons ceci anniversaire ? Normalement les anniversaires sont censés être joyeux, drôle, amusant, tandis qu’ici c’est plutôt triste, émouvant, tout le contraire d’un vrai anniversaire ... bref passons.

Apres les avoir déposé, je me relevai, observant les tombes des deux personnes qui comptent le plus pour moi, ou plutôt comptaient. Des larmes coulaient de mon visage, par reflexe peut être, car à force de penser à eux tout le temps, je ne sais plus quand je pleure. Peu de temps après, les larmes se mélangeaient à ceux de la pluie qui commençait à s’abattre, comme toujours a cette saison de l’année. Mais je restais tout de même ici, ne bougeant pas, et pensant aux bons moments passer ensemble. Ce n’est que quelques minutes plus tard, ou quelques heures peut-être, je ne sais plus très bien, qu’un monsieur m’interpella et me demanda de partir car le cimetière devait fermer. On ne peut plus rester tranquille avec les gens qu’on aime de nos jours, mais je n’allais pas lui dire il fait son travail, alors, je l’écoutai et commença à sortir du cimetière, pensant de moins en moins aux souvenirs magnifiques que j’ai eu avec ma famille. Je m’en allais doucement, marchant dans la terre boueuse que je frôlais depuis des années déjà a force de venir ici, quittant pour la énième fois cet endroit, pour y revenir un jour ou l’autre sans doute.

Tout au loin, une personne était adossée contre un arbre, le protégeant un peu de la pluie qui tombait depuis maintenant quelque temps. Cette personne était habillée de noir et regardait le paysage, le cimetière, les pierres tombales qui y régnaient sans doute en maitre, et observant quelque chose au loin, et cette chose c’était moi ...